Ma lecture pas à pas
Le titre tout d’abord… « La maison du scorpion »
avec en première de couverture, un scorpion sur fond rouge. Que peut-il bien
représenter ? D’emblée, je l’associe à un personnage (lequel ? C’est
encore un mystère…) dirigeant une maisonnée ou un domaine. Intuitivement, je
prédis qu’il ne s’agira pas là d’une histoire des plus joyeuses.
La quatrième de couverture nous apprendra que le scorpion représente, en réalité, l’emblème d’un certain « El Patròn », homme le plus puissant au monde et régnant sur un pays fictif « L’Opium », entièrement dédié à la drogue.
«Aaaah, une anti-utopie, me dis-je ».
Poursuivant la lecture de la quatrième de couverture, j’apprends également la présence de clones, véritables objets humains destinés à servir de réservoirs d’organes. Le clonage donc… Intéressant !
La dernière phrase m’interpelle : « Le problème, c’est que, quand on a un cerveau, on s’en sert ».
Elle résonne comme une promesse, promesse de révolution, de liberté. Je souhaite d’ores et déjà bonne chance au héros et décide d’ouvrir le livre sans plus tarder.
La quatrième de couverture nous apprendra que le scorpion représente, en réalité, l’emblème d’un certain « El Patròn », homme le plus puissant au monde et régnant sur un pays fictif « L’Opium », entièrement dédié à la drogue.
«Aaaah, une anti-utopie, me dis-je ».
Poursuivant la lecture de la quatrième de couverture, j’apprends également la présence de clones, véritables objets humains destinés à servir de réservoirs d’organes. Le clonage donc… Intéressant !
La dernière phrase m’interpelle : « Le problème, c’est que, quand on a un cerveau, on s’en sert ».
Elle résonne comme une promesse, promesse de révolution, de liberté. Je souhaite d’ores et déjà bonne chance au héros et décide d’ouvrir le livre sans plus tarder.
Aie ! Une fameuse liste de personnage. Cela commence bien !
Je m’attends donc à une histoire assez compliquée. Vu le nombre de personnage,
je parierais même sur une histoire dans l’histoire, nous verrons bien… Je passe très vite la liste en revue :
au final, je pense qu’elle sera d’une grande aide et apportera plus de clarté.
À voir !
- Entrons dans le vif du sujet ! Arrivée à la page 100 :
Il s’en est passé des choses ! Jusque là, le récit est
très fort centré sur Mattéo. Un mot à dire : génial !!! Pour l’instant,
j’adore ce roman. Celui-ci me fait déjà ressentir moult émotions, ce que j’attends
principalement lorsque je lis un livre, qui plus est un roman : de l’affection et espérance au tout
début, lorsque Mattéo vit avec Célia, de la peur lorsqu’il rencontre Steven et
Maria, de la haine, beaucoup de haine envers Rosa, encore de la peur quand il
rencontre pour la première fois El Patròn et du soulagement
lorsqu’il est remis à Célia.
Nous faisons également connaissance avec Tam Lin, le garde du corps pour lequel j’éprouve déjà beaucoup d’affection. J’espère que son personne sera davantage développé par la suite.
Nous faisons également connaissance avec Tam Lin, le garde du corps pour lequel j’éprouve déjà beaucoup d’affection. J’espère que son personne sera davantage développé par la suite.
Déjà, cette partie de livre me pose quelques questions: est-ce parce qu'il est la copie conforme d'El Patròn que Mattéo ne pourra jamais se comporter autrement? La génétique a-t-elle un poids si immense sur lui... Sur nous? Finira-t-il charcuté comme un vulgaire bout de viande?
J'ai tendance à espérer le contraire et je présume un retournement de situation, croisons les doigts!
Un passage m'ayant particulièrement marqué consiste en la découverte du don que possède Mattéo pour le piano et la musique. Tam Lin résume bien la situation: "C'est drôle, je n'aurais jamais cru qu'El Patròn serait doué pour la musique". J'ai alors tendance à penser que c'est également nos expériences, nos goûts, nos choix qui déterminent ce que nous sommes, autant, ou beaucoup plus que la "simple" génétique.
- Continuons! Page 213, la moitié du roman:
Je suis véritablement happée par ce roman qui est devenu mon numéro 1 de cette liste de lecture.
Que de rebondissements! Tout d'abord, Mattéo découvre le vrai visage de Tom, un garçon de son âge, qui, sous des airs angéliques, est en réalité le diable incarné. S'ensuivra un conflit bouillonnant entre Tom et sa mère contre Mattéo, la principale victime étant Bouldepoil, le petit chien de Maria.
Ensuite, Mattéo découvre, à l’hôpital, le sinistre sort réservé au clone de MacGrégor.
Malgré cette découvertes et les perfides allusions de Tom à ce sujet, Mattéo reste convaincu qu'El Patròn l'aime sincèrement.
En parallèle, les choses s'accélèrent et l'on sent bien que le moment funeste où l'on va prélever les organes de Mattéo approche, El Patron n'étant pas en au top de sa forme.
Des changement apparaissent dans les attitudes de Célia et Tam Lin. Ce dernier, par exemple, emmène régulièrement Mattéo dans une cabane sur la plage et le soumet à des entraînements rudes.
Va-t-il le faire évader? Cela serait probable.
Célia aussi semble comploter quelque chose contre l'usage que compte faire El Patròn de Mattéo. Ainsi, un passage m'a tout particulièrement troublée: la conversation entre Célia et Tan Lin. Célia tente-t-elle d'empoisonner Mattéo? Pourquoi ferait-elle ça? Est-ce la seule façon pour lui d'échapper à son destin? Nous verrons par la suite.
Nous apprenons également que le nom de famille d'El Patròn est Alacrán. En français, cela signifie "Scorpion". Ma supposition du début était don juste. Scorpion constitue une métaphore désignant El Patròn lui-même de par sa dangerosité, mais également le domaine entier, en ce compris les personnes qui y résident.
Ça y est! El Patròn est mort et Mattéo vivant! Quels rebondissements!
Les médecins ont bien sûr tenté de prélever les organes de Mattéo et de les transplanter sur El Patròn.
C'est là que Célia entre en scène: en effet, cette dernière a, durant de longues années, empoisonné Mattéo à petites doses, ne le tuant pas mais rendant ses organes trop instables pour une transplantation. Une idée de génie! S'ensuivra un dialogue entre Célia et El Patròn mourant.
Quel courage et quel cran de la part de Célia! Du coup, j'ai vraiment peur pour elle!
Et Tam Lin, quel comédien! J'y ai cru jusqu'au bout! Ce personnage va vraiment me manquer, il est bien plus profond qu'il n'en laisse paraître.
Voilà donc Mattéo parti, il va essayer de rejoindre Maria à San Luis. j'espère de tout coeur qu'il va y arriver!
Une histoire dans l'histoire, je l'aurais parié! Mattéo se trouve maintenant en Azlan et est amené dans une usine avec d'autres enfants. Que va-t-il se passer? Mattéo va-t-il prendre la tête des enfants et se rebeller? Retrouvera-t-il Maria, Célia, Tam Lin?
Malgré cette découvertes et les perfides allusions de Tom à ce sujet, Mattéo reste convaincu qu'El Patròn l'aime sincèrement.
En parallèle, les choses s'accélèrent et l'on sent bien que le moment funeste où l'on va prélever les organes de Mattéo approche, El Patron n'étant pas en au top de sa forme.
Des changement apparaissent dans les attitudes de Célia et Tam Lin. Ce dernier, par exemple, emmène régulièrement Mattéo dans une cabane sur la plage et le soumet à des entraînements rudes.
Va-t-il le faire évader? Cela serait probable.
Célia aussi semble comploter quelque chose contre l'usage que compte faire El Patròn de Mattéo. Ainsi, un passage m'a tout particulièrement troublée: la conversation entre Célia et Tan Lin. Célia tente-t-elle d'empoisonner Mattéo? Pourquoi ferait-elle ça? Est-ce la seule façon pour lui d'échapper à son destin? Nous verrons par la suite.
Nous apprenons également que le nom de famille d'El Patròn est Alacrán. En français, cela signifie "Scorpion". Ma supposition du début était don juste. Scorpion constitue une métaphore désignant El Patròn lui-même de par sa dangerosité, mais également le domaine entier, en ce compris les personnes qui y résident.
- Page 265
Ça y est! El Patròn est mort et Mattéo vivant! Quels rebondissements!Les médecins ont bien sûr tenté de prélever les organes de Mattéo et de les transplanter sur El Patròn.
C'est là que Célia entre en scène: en effet, cette dernière a, durant de longues années, empoisonné Mattéo à petites doses, ne le tuant pas mais rendant ses organes trop instables pour une transplantation. Une idée de génie! S'ensuivra un dialogue entre Célia et El Patròn mourant.
Quel courage et quel cran de la part de Célia! Du coup, j'ai vraiment peur pour elle!
Et Tam Lin, quel comédien! J'y ai cru jusqu'au bout! Ce personnage va vraiment me manquer, il est bien plus profond qu'il n'en laisse paraître.
Voilà donc Mattéo parti, il va essayer de rejoindre Maria à San Luis. j'espère de tout coeur qu'il va y arriver!
- Page 276
Une histoire dans l'histoire, je l'aurais parié! Mattéo se trouve maintenant en Azlan et est amené dans une usine avec d'autres enfants. Que va-t-il se passer? Mattéo va-t-il prendre la tête des enfants et se rebeller? Retrouvera-t-il Maria, Célia, Tam Lin?
- La fin
J'ai donc terminé, avec regret je dois dire, "La maison du scorpion". Ce livre est, pour moi, un véritable coup de cœur.
Avec ses nouveaux amis, Mattéo finit par se rebeller et s'échapper de l'usine où les conditions de vie sont vite devenues insupportables. Après quelques péripéties, il retrouve Maria et sa mère Esperanza qui le convainc de retourner en Opium.
Mattéo y rejoint Célia et quelques-unes de ses connaissances qui sont, en réalité, les seuls survivants.
C'est à se moment que l'on prend véritablement conscience de toute la sournoiserie et de l'extrême intelligence d'El Patròn.Les bouteilles de vin à son enterrement étant empoisonnées, tous ses invités sont morts en même temps que lui. Ils lui appartenaient tous.
Même Tam Lin, pourtant au courant de la manigance. Cela m'a vraiment déchiré le cœur et je lui en veux un peu d'avoir pris cette décision. Pourquoi? Pourquoi n'est-il pas resté pour aider Mattéo? Pourquoi est-il mort pour un vieillard infâme? Pourquoi??? Un semblant de réponse se trouve peut-être dans le passé de Tam Lin: étant accidentellement responsable de la mort d'une vingtaine d'enfants, il ne se jugeait peut-être pas digne de continuer à vivre, tout en sachant sa mission de sauver Mattéo accomplie.
Au final, c'est à Mattéo que reviendra le devoir de démanteler l'empire d'Opium. Une lourde tâche!
En conclusion, je vois la fin comme une sorte de happy end en demi-teinte, la mort de Tam Lin et les atroces agissements d'El Patròn m'empêchant de la considérer comme une fin heureuse à part entière.
Et c'est peut-être à cette fin que l'on s'aperçoit qu'il s'agit bien d'un roman pour adolescents: l'histoire finit bien, de manière générale.
Je ne peux que conseiller la lecture de ce roman, il est terriblement addictif, on retient son souffle à chaque chapitre et l'on ne sait s'en détacher avant d'avoir tourné la dernière page. C'est également un livre qui tend à nous faire réfléchir sur bien des sujets: le clonage évidemment, mais aussi la question de la vie éternelle, de l'utilisation de la science, de l'égalité,...
Une lecture que je conseille à tous à partir de la troisième année secondaire.
Avec ses nouveaux amis, Mattéo finit par se rebeller et s'échapper de l'usine où les conditions de vie sont vite devenues insupportables. Après quelques péripéties, il retrouve Maria et sa mère Esperanza qui le convainc de retourner en Opium.
Mattéo y rejoint Célia et quelques-unes de ses connaissances qui sont, en réalité, les seuls survivants.
C'est à se moment que l'on prend véritablement conscience de toute la sournoiserie et de l'extrême intelligence d'El Patròn.Les bouteilles de vin à son enterrement étant empoisonnées, tous ses invités sont morts en même temps que lui. Ils lui appartenaient tous.
Même Tam Lin, pourtant au courant de la manigance. Cela m'a vraiment déchiré le cœur et je lui en veux un peu d'avoir pris cette décision. Pourquoi? Pourquoi n'est-il pas resté pour aider Mattéo? Pourquoi est-il mort pour un vieillard infâme? Pourquoi??? Un semblant de réponse se trouve peut-être dans le passé de Tam Lin: étant accidentellement responsable de la mort d'une vingtaine d'enfants, il ne se jugeait peut-être pas digne de continuer à vivre, tout en sachant sa mission de sauver Mattéo accomplie.
Au final, c'est à Mattéo que reviendra le devoir de démanteler l'empire d'Opium. Une lourde tâche!
En conclusion, je vois la fin comme une sorte de happy end en demi-teinte, la mort de Tam Lin et les atroces agissements d'El Patròn m'empêchant de la considérer comme une fin heureuse à part entière.
Et c'est peut-être à cette fin que l'on s'aperçoit qu'il s'agit bien d'un roman pour adolescents: l'histoire finit bien, de manière générale.
Je ne peux que conseiller la lecture de ce roman, il est terriblement addictif, on retient son souffle à chaque chapitre et l'on ne sait s'en détacher avant d'avoir tourné la dernière page. C'est également un livre qui tend à nous faire réfléchir sur bien des sujets: le clonage évidemment, mais aussi la question de la vie éternelle, de l'utilisation de la science, de l'égalité,...
Une lecture que je conseille à tous à partir de la troisième année secondaire.
Le clonage
En lisant la « Maison du scorpion », j’ai tout de
suite pensé qu’heureusement le clonage était toujours, de nos jours, interdit.
Pour moi, il ne pouvait en être autrement. Mais qu’en est-il vraiment à l’heure
actuelle ? Il faut dire que depuis la brebis Dolly, de l’eau a coulé sous
les ponts.
Je m’aperçois que je n’en sais pas beaucoup plus sur le clonage.
Prédisant un sujet très complexe et intéressant, ainsi que de passionnants débats avec mes élèves, j’ai décidé de faire une recherche sur le clonage en général et son état d’avancement à l’heure actuelle.
Tout d'abord, d'un point de vue scientifique, qu'est-ce que le clonage? Selon la Commission Européenne, le clonage serait défini comme "La création d'un organisme constituant la copie génétique fidèle d'un autre organisme, les deux organismes en question partageant donc le même ADN".
Il faut savoir que la thématique du clonage est présente dans les esprits depuis bien longtemps. Preuve en est faite du "Meilleur des mondes" d'Aldous Huxley, livre dans lequel ce dernier imagine une société utilisant exclusivement le clonage et l'ADN pour contrôler et véritablement conditionner les individus.
Plus scientifiquement, c'est en 1903 qu'un certain H.J. Webber, botaniste de son état, utilise pour la première fois le terme "Clone" pour désigner des plantes reproduites par reproduction asexuée.
Durant quelques années, s'ensuivent plusieurs expériences et tentatives de clonage.
Il faudra attendre 1952 pour que réussisse le clonage d'une grenouille et c'est bien à partir de cette date-là que l'on considérera le vrai début de l'histoire du clonage.
En 1979, autre événement majeur: il s'agit de la première tentative sans grand succès de clonage humain, réalisée par l'américain L.B. Shettles.
Il faudra attendre 1996 pour que naisse enfin la célèbre brebis Dolly, premier mammifère à avoir été cloné. D'autres clonages de brebis et de vaches s’ensuivront.
D'autres essais auront également lieu sur l'homme et en 2001, est créé le premier clone d'embryon humain: les fameuses cellules souches. Les scientifiques insisteront énormément sur le côté thérapeutique de ces recherches ayant pour but de guérir des maladies jusque là incurables, à l'aide de cellules souches.
Date importante, en 2004, le projet de révision des "Lois de bioéthiques" est adopté en première lecture au Sénat. De mon point de vue, il s'agit clairement des premières interrogations éthiques sur le clonage. J'espère que beaucoup d'autres suivront si celui-ci venait à se développer.
Je m’aperçois que je n’en sais pas beaucoup plus sur le clonage.
Prédisant un sujet très complexe et intéressant, ainsi que de passionnants débats avec mes élèves, j’ai décidé de faire une recherche sur le clonage en général et son état d’avancement à l’heure actuelle.
Tout d'abord, d'un point de vue scientifique, qu'est-ce que le clonage? Selon la Commission Européenne, le clonage serait défini comme "La création d'un organisme constituant la copie génétique fidèle d'un autre organisme, les deux organismes en question partageant donc le même ADN".
Il faut savoir que la thématique du clonage est présente dans les esprits depuis bien longtemps. Preuve en est faite du "Meilleur des mondes" d'Aldous Huxley, livre dans lequel ce dernier imagine une société utilisant exclusivement le clonage et l'ADN pour contrôler et véritablement conditionner les individus.
Plus scientifiquement, c'est en 1903 qu'un certain H.J. Webber, botaniste de son état, utilise pour la première fois le terme "Clone" pour désigner des plantes reproduites par reproduction asexuée.
Durant quelques années, s'ensuivent plusieurs expériences et tentatives de clonage.
Il faudra attendre 1952 pour que réussisse le clonage d'une grenouille et c'est bien à partir de cette date-là que l'on considérera le vrai début de l'histoire du clonage.
En 1979, autre événement majeur: il s'agit de la première tentative sans grand succès de clonage humain, réalisée par l'américain L.B. Shettles.
Il faudra attendre 1996 pour que naisse enfin la célèbre brebis Dolly, premier mammifère à avoir été cloné. D'autres clonages de brebis et de vaches s’ensuivront.
D'autres essais auront également lieu sur l'homme et en 2001, est créé le premier clone d'embryon humain: les fameuses cellules souches. Les scientifiques insisteront énormément sur le côté thérapeutique de ces recherches ayant pour but de guérir des maladies jusque là incurables, à l'aide de cellules souches.
Date importante, en 2004, le projet de révision des "Lois de bioéthiques" est adopté en première lecture au Sénat. De mon point de vue, il s'agit clairement des premières interrogations éthiques sur le clonage. J'espère que beaucoup d'autres suivront si celui-ci venait à se développer.
- Et aujourd'hui?
Le clonage d'un humain en tant que tel n'a jamais été réalisé. John Gurdon, prix Nobel de médecine en 2012, affirme que le clonage humain serait potentiellement possible d'ici 50 ans.
Pour lui, le clonage humain ne relève absolument pas de la science-fiction. Le chercheur déclare ainsi que la science possède déjà les techniques et que celles-ci devraient être améliorées et opérationnelles d'ici un demi-siècle.
- Le clonage, illégal?
En Europe:
Au sein de l'Union Européenne, le clonage ne sert actuellement qu'à la recherche, ce que font la plupart des États membres. Précisons que le clonage n'est pas, dans l'UE, utilisé à des fins commerciales.
Cependant, le Danemark est le seul pays de l'UE à avoir adopté une loi spécifique afin d'interdire le clonage à des fins commerciales, à l'échelle nationale.
Et ailleurs:
Aux États-Unis, le clonage est autorisé à des fins commerciales. Par exemple, des porcins et des bovins clonés sont vendus à des agriculteurs. Notons, tout de même que, pour le moment, le processus de clonage demeure si coûteux que les clones ne sont pas destinés à l'alimentation mais bien à la reproduction.
L'Australie, le Brésil, le Canada, la Nouvelle-Zélande et le Japon utilisent aussi la technique du clonage mais uniquement pour la recherche.
Nous sommes donc encore bien loin de la réalité du livre!
Pourtant, il faut souligner que le clonage est un thème bien connu et qui est régulièrement pris comme objet pour un livre ou un film: l'exemple le plus frappant consiste sûrement en l'épisode II de la saga "Star Wars", intitulé "L'attaque des clones" et qui raconte l'invasion d'une véritable armée de clones contrôlée et programmée, les héros l'apprendront plus tard, par un sombre seigneur Sith.
Nous sommes donc encore bien loin de la réalité du livre!
Pourtant, il faut souligner que le clonage est un thème bien connu et qui est régulièrement pris comme objet pour un livre ou un film: l'exemple le plus frappant consiste sûrement en l'épisode II de la saga "Star Wars", intitulé "L'attaque des clones" et qui raconte l'invasion d'une véritable armée de clones contrôlée et programmée, les héros l'apprendront plus tard, par un sombre seigneur Sith.
Je ne peux résister à vous mettre le lien de la bande-annonce:
Sources:
http://tpesurleclonage.canalblog.com/archives/2009/12/14/16633380.html